GEJ1 La chute d'Eve et sa mauvaise influence sur l'homme

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GEJ1 C166

De la création d'Adam
De l'être de l'homme et de la femme
La chute d'Eve et sa mauvaise influence sur l'homme
Chute de l'humanité
Le devenir de l'homme par le Christ

 

1. Kisjonah dit : «Ô Dieu, Ô Dieu ! Quelle sagesse profonde ! Qui a jamais entendu chose pareille ? Seul Dieu peut donner de tels éclaircissements ! La sagesse de ce monde n'est rien, absolument rien, en comparaison. C'est trop d'un coup, pour nous mortels et pauvres pêcheurs comme moi !

2. Comme par un coup de baguette magique, ce dévoilement rend compréhensible toute la Genèse.

3. Je comprends maintenant ce que signifie la création d'Adam, le premier homme de cette terre, à partir de la boue. Dieu a voulu, dans Son ordre éternel, que les esprits déchus, prisonniers de la terre, se libèrent de leur prison, cette terre et ce corps de boue légère et malléable, pour se constituer un corps selon la forme spirituelle correspondante permettant de se mouvoir avec beaucoup de liberté, et qu'ils reconnaissent alors Dieu et parviennent ainsi à leur nature originelle, à savoir un esprit pur et parfait comme le sont les archanges des premiers temps.

4. Oui, tout me devient clair ! Il est dit que la femme a été créée d'une côte d'Adam, comme il est évident que les montagnes sont la partie la plus solide et même la plus tenace de la terre où s'abritent les esprits les plus obstinés. Les os du premier homme et de ses descendants, en parfaite correspondance avec les montagnes de la terre, sont la partie la plus dure et la plus têtue de l'homme.

5. La partie spirituelle la plus têtue, mais aussi la plus sensuelle de l'homme, la plus fière et la plus orgueilleuse, par la sagesse et la puissance de Dieu, a été séparée de l'homme et mise dans une forme féminine semblable à celle de l'homme dont elle est issue ; elle est ainsi en relation vivante avec lui, capable par l'acte de la procréation selon la volonté toute puissante de Dieu, de porter un fruit vivant en elle. La femme étant la partie spirituelle la plus têtue de l'homme, il lui est donné de souffrir davantage pour pouvoir perfectionner son esprit comme l'homme perfectionne le sien qui est plus doux, si bien que finalement, comme le dit l'Ecriture, homme et femme peuvent devenir un.

6. L'expression «homme et femme ne sont plus qu'une seule chair» signifie que la femme, quoique constituée des éléments les plus tenaces et les plus obstinés de l'homme, grâce aux épreuves relativement plus dures qu'elle doit soutenir, finit par devenir semblable aux éléments spirituels plus humbles et plus doux de l'homme. C'est ce que signifie la parole : homme et femme deviennent une même chair. Qu'en dis-Tu Seigneur ? Ai-je saisi ces choses de la bonne manière, oui ou non ? »

7. Je dis : «Parfaitement, et si les Ecritures étaient lues et comprises dans l'esprit juste, il serait bon de parler avec tous les hommes des vrais problèmes des cieux, mais les hommes sont ainsi faits ; et pour commencer, les femmes tombées dans la sensualité par un deuxième abus de leur libre volonté, se sont mises à orner leur corps hérité de Satan, et par leur égoïsme sont devenues intraitables, fières et prétentieuses, obligeant l'homme qui est plus doux à tomber dans leur filet ; et l'homme pour se faire estimer de la femme s'est mis à danser aux sifflements dominateurs de la femme, finissant par prendre goût à ses filets sataniques.

8. Ainsi l'homme a chuté de toute la hauteur du ciel qui germait en lui et est devenu un être ténébreux, sensuel et égoïste, vain et ambitieux uni à la femme, à la suite du diable.

9. Certes l'esprit de l'homme, réveillé de temps en temps par l'amour de la vie, l'incite à lire les Ecritures et à admirer les œuvres de Dieu ; et ceux qui ont su se tirer du filet des femmes ont pu le faire plus ou moins ; mais c'était insuffisant car ces hommes n'ont pu comprendre l'Ecriture parce qu'ils l'ont prise à la lettre, au sens matériel, c'est à dire au sens féminin, comme monnaie sonnante, faisant de la parole de Dieu une abomination, et du Temple un repaire d'assassins et de voleurs.

10. Je le dis à toi et à vous tous : cela est allé si loin que tous les hommes auraient été perdus si Je n'étais venu Moi-même en ce monde pour vous libérer du joug de Satan et de son éternelle perdition ; et Je devrai, Moi-même faire les plus grands efforts pour n'élever au début qu'une infime partie de l'humanité à la vraie lumière du ciel ! »

 

Publié dans FEMME

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